Dans ce numéro
“Avec l’informel, il n’y a pas de traçabilité”
Directeur exécutif et PDG de l’Eastern Africa Grain Council (EAGC), qui réunit des producteurs et des transformateurs, Gerald Makau Masila détaille les difficultés rencontrées par les acteurs de la chaîne de valeur pour accéder au commerce formel. Il faut, dit-il, investir dans l’infrastructure de marché, renforcer les capacités et promouvoir les TIC.
Commerce agricole : comment transformer l’économie informelle
par Vincent Defait
Dans les pays en développement, le secteur alimentaire informel – du champ aux magasins – représente une large part du commerce agricole. Pour en récolter les bénéfices, les décideurs politiques et le secteur privé devront former les acteurs de ce pan de l’économie, leur offrir un accès au financement et aux technologies d’innovation, et surtout prendre en compte leurs difficultés.
Un terreau fertile pour l’agriculture
Dans les pays en développement, l’économie informelle fournit des revenus et des emplois aux populations les plus vulnérables. Le secteur, graduellement formalisé, peut devenir un levier de croissance et de développement.
Exploiter le potentiel du commerce transfrontalier formel
par Bob Koigi
Dans la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), des initiatives encouragent les commerçants informels transfrontaliers, dont la majorité sont des femmes, à emprunter les routes officielles et à formaliser leur activité. Pour leur sécurité et augmenter leurs revenus.
Ne manquez surtout pas, dans cette édition, l’interview de Benjamin Addom du CTA, L’agriculture de demain repose sur les données, qui explique le rôle des technologies numériques pour accroître la productivité agricole, en particulier face aux défis posés par le changement climatique.